L’équilibre compose, avec trois directions

Cycle synchronisation

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Pour développer la Ki-Regeneration®, j’ai d’abord cherché à comprendre le fonctionnement harmonieux du corps humain, puis les failles qui font tomber cette harmonie.

La troisième étape a été de comprendre, comment le corps humain arrivait à se rééquilibrer après un changement.

Pour réaliser cette troisième étape, j’ai étudié la pathologie :

Elle cherche les causes et les facteurs responsables des symptômes, en étudiant les lésions provoquées par la maladie, dues au dérèglement de l’homéostasie.

Cela m’a permis de comprendre comment la médecine allopathique soigne, en agissant sur la composante « matière » du corps, la réalité physique de la vie.

Voici son application pour évolutionner notre système politique obsolète vers une Terre Fraternelle.

Homéostasie – Adaptation – Lésion

L’homéostasie correspond au maintien de l’équilibre cellulaire, lorsque la cellule est placée en conditions physiologiques.

L’adaptation cellulaire permet à la cellule de trouver un nouvel équilibre lorsque l’environnement cellulaire est modifié, par des exigences physiologiques plus importantes ou des circonstances pathologiques.

Une lésion est constituée par toute altération morphologique d’un élément vivant décelable par un quelconque moyen d’observation, dans un viscère, un tissu, une cellule, un organite, un constituant moléculaire.

Voici les réponses cellulaires à une agression :

Nature et gravité de l’agressionRéponse cellulaire
Modification des stimuli physiologiques :Adaptation cellulaire :
– Augmentation des besoins, des stimuli de trophicité (ex : facteurs de croissance, hormones)Hyperplasie, hypertrophie
– Carence nutritionnelle, diminution des stimuliAtrophie
– Irritation chronique, chimique ou physiqueMétaplasie
Diminution apport oxygène ; agression chimique ; infection microbienne :Lésion cellulaire :
– Aiguë et résolutiveLésion aiguë réversible
– Progressive et sévère (y compris lésion à ADN)Lésion irréversible : mort cellulaire, nécrose ou apoptose
– Agression légère prolongéeAltération des organes intracellulaires
Altérations métaboliques, génétiques ou acquisesAccumulations intracellulaires, calcifications
Allongement de la vie avec agressions subléthales répétéesVieillissement cellulaire

Diagnostic – Pronostic – Évaluation

La démarche de l’anatomie pathologique est fondée sur une analyse sémiologique qui compare les tissus normaux et les tissus pathologiques.

L’anatomie pathologique (ou pathologie) nécessite le développement de techniques :

  • De prélèvements cytologiques (cellules isolées ou petits amas cellulaires) et tissulaires ;
  • D’étude morphologique : fixation, imprégnation, inclusion, coloration, microscopie, histoenzymologie, immunohistochimie, biologie moléculaire,…

Le pathologiste doit toujours évoluer en s’enrichissant de nouvelles méthodes diagnostiques, tout en gardant un raisonnement précis fondé sur la morphologie pour établir ou réviser les arbres décisionnels.

C’est une discipline médicale :

  • Elle étudie les lésions provoquées par les maladies, ou associées à celles-ci, sur les organes, les tissus ou les cellules, en utilisant des techniques principalement macroscopique ou microscopique.
  • Les lésions sont des signes de maladies, au même titre que les symptômes cliniques.
  • Elles peuvent être le résultat de l’agression qui a déclenché la maladie, ou celui des réactions apparues au cours du déroulement du processus morbide.
  • Il n’y a pas forcément de corrélation étroite entre l’importance d’une lésion et son expression clinique ou biologique.
  • L’usage de terminologies et classifications nationales et internationales est recommandé afin d’utiliser un codage systémique des lésions, lors de leur saisie dans les bases de données anatomo-pathologiques.
  • Les lésions sont confrontées aux données cliniques, biologiques et imagerie, enregistrées dans les bases de données : c’est la corrélation anatomo-clinique qui est indispensable pour permettre une interprétation synthétique qui aboutit à un diagnostic (certain, probable ou incertain).

Les examens anatomo-cyto-pathologiques sont renouvelés au cours d’un traitement thérapeutique afin de juger de la disparition, de la persistance ou de l’aggravation des lésions.

Mort cellulaire – Nécrose – Apoptose

La mort cellulaire est le terme ultime de la lésion cellulaire.

On distingue deux types de morts cellulaires, qui s’opposent sur beaucoup de points.

La nécrose concerne habituellement des groupes de cellules dans un tissu soumis à une agression pathogène :

  • Elle n’est manifeste que plusieurs heures après la mort cellulaire.
  • Elle se caractérise par une hyper-éosinophilie cytoplasmique, une pycnose, une caryolyse ou un caryorrhexis nucléaire.
  • Elle s’accompagne d’une réaction inflammatoire.

L’apoptose correspond à une « mort cellulaire programmée » :

  • C’est le plus souvent un mécanisme de « suicide » cellulaire essentiel au développement, à la maturation, et au renouvellement normal des tissus.
  • Elle peut survenir dans des conditions physiologiques (ex : destruction des Lymphocytes T auto-réactifs au cours du développement de l’auto-immunité) ou dans des circonstances pathologiques (ex : rejet de greffe).
  • Elle affecte les cellules isolées.
  • Elle se caractérise par une fragmentation cellulaire en corps apoptotiques.
  • Elle ne s’accompagne pas d’une réaction inflammatoire.

Les trois programmes universels d’équilibrage

Pour conserver l’intégrité du corps humain, chaque cellule bascule dans l’un ou l’autre de ces trois possibilités :
– Le programme « Homéostasie » qui maintient l’équilibre,
– Le programme « Adaptation » qui trouve un nouvel équilibre suite à des modifications environnementales,
– Le programme « Apoptose » qui libère l’espace.

Pour vivre en harmonie un changement, il faut :

1, Définir un plan de route :

  • Il contient le but à atteindre et le chemin pour y arriver.
  • Pour qu’un changement soit opérationnel, il faut savoir où nous souhaitons aller, et avoir une idée des moyens à déployer.
  • Je planifie ce que je dois faire pour atteindre mon objectif.

2, Vérifier que nous sommes sur le bon chemin, car le doute, l’imprévu, la catastrophe, la peur,… peuvent nous faire dévier :

Pour cette étape, j’utilise un programme universel d’équilibrage

  • Si tout se passe bien,
    – Le programme « Homéostasie » me dit de maintenir le cap,
    Je continue de suivre mon plan.
  • Des imprévus ou ressentis négatifs surviennent,
    – Le programme « Adaptation » me dit de trouver un nouvel arrangement, à l’aide de mes compétences, en me formant, en m’associant avec quelqu’un, en créant de nouveaux outils,…
    je revois mon plan en modifiant des éléments,
  • Rien ne va,
    – Le programme « Apoptose » me dit de libérer de l’espace afin d’élargir ma vision,
    J’arrête de faire ce que j’ai planifié, je prends du recul pour observer la situation avec détachement, je médite et je m’accorde du temps pour réfléchir.

Connectons l’imaginaire humain fraternel, afin de mettre en relation tous les points relatifs à la vie terrestre -humains, animaux, végétaux, Terre- et la dignité humaine -paix, amour, harmonie, respect- et utilisions les programmes universels d’équilibrage pour créer un chemin qui mènera à une Terre Fraternelle.


Référence bibliographique :
– Les informations sur la pathologie sont extraites du livre « Pathologie générale, Enseignement thématique – Biopathologie tissulaire », Collège Français des Pathologistes, Edition Elsevier Masson, 2012.

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